NOTES

 

François-Victor Hugo annote le vers d'Othello -Chaque larme qu'elle laisse tomber ferait un crocodile- de la manière suivante, qui redonne force à la métaphore: « C'était une croyance populaire que le crocodile pleure sur sa victime tout en la dévorant. Le naturaliste Bullokar donne à cette opinion singulière l'autorité de la science dans un livre publié en 1616: " Il est établi, dit-il, que ce monstre pleure sur la tête de l'homme dont il a dévoré le corps, et qu'alors, il mange également la tête." » (ouvrage cité, tome V Les Jaloux 2, p. 421.)